Livre:Lamarck - Philosophie zoologique 1873 tome 1.djvu

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TitrePhilosophie zoologique Voir l'entité sur Wikidata
AuteurJean-Baptiste de Lamarck Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurC. Martins
Maison d’éditionF. Savy
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1873
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Série1 - 2

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Introduction biographique 
 v
Avertissement 
 1
Motifs de l’ouvrage, et vues générales sur les sujets qui y sont traités.
Discours préliminaire 
 21
Quelques considérations générales sur l’intérêt qu’offre l’étude des animaux, et particulièrement celle de leur organisation, surtout parmi les plus imparfaits.


PREMIÈRE PARTIE

CONSIDÉRATIONS SUR L’HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX LEURS CARACTÈRES, LEURS RAPPORTS, LEUR ORGANISATION, LEUR CLASSIFICATION ET LEURS ESPÈCES


Chapitre premier. — Des parties de l’art dans les productions de la nature 
 37
Comment les distributions systématiques, les classes, les ordres, les familles, les genres et la nomenclature ne sont que des parties de l’art.
Chapitre II. — Importance de la considération des rapports 
 58
Comment la connaissance des rapports entre les productions naturelles connues fait la base des sciences naturelles, et donne de la solidité à la distribution générale des animaux.
Chapitre III. — De l’Espèce parmi les corps vivants et de l’idée que nous devons attacher à ce mot 
 71
Qu’il n’est pas vrai que les Espèces soient aussi anciennes que la nature, et qu’elles aient toutes existé aussi anciennement les unes que les autres, mais qu’il l’est qu’elles se sont formées successivement, qu’elles n’ont qu’une constance relative et qu’elles ne sont invariables que temporairement.
Chapitre IV. — Généralités sur les animaux 
 97
Les actions des animaux ne s’exécutent que par des mouvements excités, et non par des mouvements communiqués ou d’impulsion. L’irritabilité seule est, pour eux, une faculté générale, exclusive, et source de leurs actions ; et il n’est pas vrai que tous les animaux jouissent du sentiment, ainsi que de la faculté d’exécuter des actes de volonté.
Chapitre V. — Sur l’état actuel de la distribution et de la classification des animaux 
 116
Que la distribution générale des animaux constitue une série qui n’est réellement telle que dans les masses, conformément à la composition croissante de l’organisation ; que la connaissance des rapports qui existent entre les différents animaux est le seul flambeau qui puisse guider dans l’établissement de cette distribution, en sorte que son usage en fait disparaître l’arbitraire ; qu’enfin, le nombre des lignes de séparation, qu’il a fallu établir dans cette distribution pour former les classes, s’étant accru à mesure que les différents systèmes d’organisation furent connus, la distribution dont il s’agit présente maintenant quatorze classes distinctes, très-favorables à l’étude des animaux.
Chapitre VI. — Dégradation et simplification de l’organisation d’une extrémité à l’autre de la chaîne animale, en procédant du plus composé vers le plus simple 
 141
Que c’est un fait positif qu’en suivant, selon l’usage, la chaîne des animaux depuis les plus parfaits jusqu’aux plus imparfaits, on observe une dégradation et une simplification croissantes dans l’organisation ; que conséquemment, en parcourant l’échelle animale dans un sens opposé, c’est-à-dire selon l’ordre même de la nature, on trouvera une composition croissante dans l’organisation des animaux, composition qui serait partout nuancée et régulière dans sa progression, si les circonstances des lieux d’habitation, des manières de vivre, etc., n’y avaient occasionné des anomalies diverses.
Chapitre VII. — De l’influence des circonstances sur les actions et les habitudes des animaux, et de celle des actions et des habitudes de ces corps vivants, comme causes qui modifient leur organisation et leurs parties 
 220
Comment la diversité des circonstances indue sur l’état de l’organisation, la forme générale et les parties des animaux ; comment
ensuite des changements survenus dans les circonstances d’habitation, de manière de vivre, etc., en amènent dans les actions des animaux ; enfin, comment un changement dans les actions, devenu habituel, exige, d’une part, l’emploi plus fréquent de telle des parties de l’animal, ce qui la développe et l’agrandit proportionnellement, tandis que, de l’autre part, ce même changement rend moins fréquent et quelquefois nul l’emploi de telle autre partie, ce qui nuit à ses développements, l’atténue, et finit par la faire disparaître.
(Voyez les Additions à la fin du deuxième volume.)
Chapitre VIII. — De l’ordre naturel des animaux et de la disposition qu’il faut donner à leur distribution générale pour la rendre conforme à l’ordre même de la nature 
 266
Que l’ordre naturel des animaux, constituant une série, doit commencer par ceux qui sont les plus imparfaits et les plus simples en organisation, et se terminer par les plus parfaits, afin d’être conforme à celui de la nature ; car la nature, qui les a fait exister, n’a pu les produire tous à la fois. Or, les ayant formé successivement, elle a nécessairement commencé par les plus simples, et n’a produit qu’en dernier lieu ceux qui ont l’organisation la plus composée. Que la distribution ici présentée est évidemment celle qui approche le plus de l’ordre même de la nature ; en sorte que s’il y a des corrections à faire dans cette distribution, ce ne peut être que dans les détails : comme en effet je crois que les Polypes nus (p. 284) devront former le troisième ordre de la classe, et les Polypes flottants en constituer le quatrième.


SECONDE PARTIE

CONSIDÉRATIONS SUR LES CAUSES PHYSIQUES DE LA VIE, LES CONDITIONS QU’ELLE EXIGE POUR EXISTER. LA FORCE EXCITATRICE DE CES MOUVEMENTS, LES FACULTÉS QU’ELLE DONNE AUX CORPS QUI LA POSSÈDENT, ET LES RÉSULTATS DE SON EXISTENCE DANS CES CORPS

Introduction 
 349
Quelques considérations génèrales sur la nature, sur son pouvoir de créer l’organisation et la vie, et de compliquer ensuite la première, n’employant dans toutes ces opérations que l’influence des mouvements de divers fluides sur des corps souples, que ces fluides modifient, organisent et animent.
Chapitre premier. — Comparaison des corps inorganiques avec les corps vivants, suivie d’un parallèle entre les animaux et les végétaux 
 366
Que la différence est grande entre l’état des corps vivants et celui des corps inorganiques. Que les animaux sont essentiellement

412 TABLE D|ES MATIÈRES

tir :gués des végétaux par I’Irritabilite que les premiers possèdent exclusivement, et qui permet à leurs parties de faire des mouve- ments subits et répétés de suite autant de l’ois que des causes ex- citantes les provoiiucnt, ce qui ne saurait avoir lieu à l’égard d’aucun végétal.

Chapitre II. — De la vie, de ce qui la constitue, et des conditions es- sentielles à son existence dans un coi-ps 387

Que la vie en elle-même n’est qu’un phénomène physique, qui donne graduellement lieu à beaucoup d’autres, et qui résulte uni- quement des relations qui existent entre les parties contenantes et appropriées d’un corps, les fluides contenus qui y sont eu mou- vement, et la cause excitatrice des mouvements et des changements qui s’y opèrent.

FIN DE LA TABLK DU TOME PREMIER